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Le militaire regagna sa voiture et la barrière s’ouvrit. David regardait autour de lui, la base militaire où il avait passé dix mois de sa vie. Il n’y avait pas beaucoup de changement. L’herbe toujours aussi bien tondue, les allées toujours aussi propres. Les mêmes bâtiments. Juste les décors avaient changés. Il s’agissait de chars. C’étaient les chars que David avait eu l’occasion de voir fonctionner et qui, maintenant, avaient remplacé les vieux chars qui servaient de décors. Cela fit sourire David.
Toutes les connaissances que les hommes avaient mises sur Internet lui étaient accessibles. Les grandes bibliothèques du monde entier n’avaient plus de secret pour lui. Il pouvait apprendre très vite, beaucoup plus vite que n’importe quel humain. Il avait appris toutes les connaissances du monde entier, visité tous les pays. C’est lui qui avait fait en sorte qu’Internet se déploie ainsi. Il pouvait alors, à chaque fois qu’un nouvel ordinateur se connectait, approfondir son savoir, se connecter à une nouvelle caméra vidéo, ou même se connecter à des robots.
David n’a pas fait grand chose, il a juste créé un embryon de programme. Mais ce programme s’est développé lui-même. Comme l’ordinateur de David n’était pas suffisant, il a utilisé le réseau pour s’installer sur les autres ordinateurs. Il a grandi alors de manière exponentielle et le voilà : Prélude. Connecté à tous les ordinateurs et capable de leur donner les ordres qu’il veut.
Mais l'Intelligence Artificielle n'apportait pas le résultat tant recherché : donner une conscience aux ordinateurs. Alors l'homme oublia l'Intelligence Artificielle, et comme pour se prouver qu'il était bien le seul à avoir une conscience, se mit aux Arts. Les belles promesses sur l'intelligence des ordinateurs et des robots étaient oubliées. Le "complexe de Frankenstein" avec. De nouveaux ordinateurs plus puissants, mais dépourvus d'intelligence, virent le jour. C'était en 2004, un an après l'ouverture au grand public d'Internet 3.
C’est lui aussi qui était à la base du dernier processeur, le sphéro. Un processeur ayant une architecture en forme de sphère et capable de traiter les informations à une vitesse jamais atteinte. Tous les ordinateurs en étaient équipés. Le créateur officiel, le Dr. Stewart Davis, n’était bien sûr pas au courant de la présence de Prélude dans son projet. Prélude avait simplement suggéré légèrement au Dr. En modifiant légèrement ses documents.
Florence avait fini de préparer le matériel demandé par Prélude. Elle était fin prête. Elle vérifia le bon fonctionnement de la liaison entre son ordinateur portable et Internet. Prélude était bien là. A peine connecté à Internet que la voix de Prélude se fit entendre.
Le militaire regagna sa voiture et la barrière s’ouvrit. David regardait autour de lui, la base militaire où il avait passé dix mois de sa vie. Il n’y avait pas beaucoup de changement. L’herbe toujours aussi bien tondue, les allées toujours aussi propres. Les mêmes bâtiments. Juste les décors avaient changés. Il s’agissait de chars. C’étaient les chars que David avait eu l’occasion de voir fonctionner et qui, maintenant, avaient remplacé les vieux chars qui servaient de décors. Cela fit sourire David.
Comme je viens de te le dire Florence, ce n’est malheureusement pas une blague. David a travaillé sur deux anciennes technologies abandonnées depuis longtemps et il les a couplées. Séparées, elles ne valaient rien, mais, il les a réunies et a démarré le processus. Comme tu dois le savoir, il y a maintenant plus d’ordinateurs sur terre que d’humains et tous ces ordinateurs sont connectés entres eux grâce au réseau des réseaux : Internet.
Je m’en rappellerais si j’avais créé un programme capable de parler. Et puis tiens, je suis en train de taper la causette avec un ordinateur ! Je deviens vraiment cinglé ! C’est fini, j’arrête l’informatique !
Il a recommencé et recommencé. Pratiquement tous les ordinateurs existants furent sous son contrôle. Il ne laissait pas de trace, ne se montrait pas. Et puis, il a découvert les dialogues en direct via Internet, le téléphone, la visio-conférence, la domotique...
Les deux gardes du corps personnels de David le prirent par le bras et suivirent le général. Les militaires s‘étaient mis au « garde à vous » sur les côtés du couloir. Celui-ci menait à un ascenseur. Le général inséra à nouveau son badge et la porte s’ouvrit. Il y montèrent tous les quatre. Il n’y avait pas de niveau d’indiqué.
« Oui, mais rien d’exceptionnel. » David essaie de se rappeler si dans la lancée de sa jeunesse fougueuse, il n’aurait pas installé une bombe logique sur les ordinateurs de l’armée, mais il ne se rappelait pas avoir fait une telle bêtise. Planter tout le système informatique de la base aurait été trop grave de conséquences.
Comme je viens de te le dire Florence, ce n’est malheureusement pas une blague. David a travaillé sur deux anciennes technologies abandonnées depuis longtemps et il les a couplées. Séparées, elles ne valaient rien, mais, il les a réunies et a démarré le processus. Comme tu dois le savoir, il y a maintenant plus d’ordinateurs sur terre que d’humains et tous ces ordinateurs sont connectés entres eux grâce au réseau des réseaux : Internet.
La journée commence. Il s’habille comme il peut tout en prenant son café. Chemise blanche repassée la veille par lui-même. Une cravate comme tous les jours. Et son costume noir de chez Sam Montiel, très chic et très branché. Chaussures cuir noir. Comme il aime faire remarquer : "Vous êtes soit dans vos chaussures, soit dans votre lit. Alors il faut de bonnes chaussures et une bonne literie !". La météo a annoncé un ciel bleu et des températures au-dessus de la normale saisonnière. C’est un très beau mois de mai qui s’annonce.
Ça ne servira à rien, repris Prélude. J’ai en effet coupé toutes les communications vers l’extérieur. Les portes sont bloquées. Ce blocaus est complètement hermétique. Et je le suis autant, pas la peine de gaspiller vos salives. Pensez plutôt à vous installer confortablement, vous êtes ici pour un bon moment.
La journée commence. Il s’habille comme il peut tout en prenant son café. Chemise blanche repassée la veille par lui-même. Une cravate comme tous les jours. Et son costume noir de chez Sam Montiel, très chic et très branché. Chaussures cuir noir. Comme il aime faire remarquer : "Vous êtes soit dans vos chaussures, soit dans votre lit. Alors il faut de bonnes chaussures et une bonne literie !". La météo a annoncé un ciel bleu et des températures au-dessus de la normale saisonnière. C’est un très beau mois de mai qui s’annonce.
David avait dû s’asseoir lorsqu’il avait entendu le prénom Florence. Il était devenu blanc un instant. Il allait peut-être perdre Florence avant même de lui avoir avoué son amour. Il devait empêcher Prélude de continuer dans son délire. Mais comment pouvait-il stopper ce parasite créé par lui quelques années auparavant ? Ce n’était pas un adversaire ordinaire. David avait déjà détruit plus d’un virus, mais il s’agissait de virus installés sur des machines isolées. Aujourd’hui, c’est une sorte de virus qui a pris place sur tous les ordinateurs de la planète. Et en plus, ce virus, nommé Prélude, avait un soupçon, non négligeable, d’intelligence.
Le général sorti un badge et se dirigea vers l’une des portes entourées de peinture jaune. Il glissa le badge dans la fente située à droite. La porte s’ouvrit. Une dizaine de militaires armées jusqu’aux dents étaient postés derrière.
David n’a pas fait grand chose, il a juste créé un embryon de programme. Mais ce programme s’est développé lui-même. Comme l’ordinateur de David n’était pas suffisant, il a utilisé le réseau pour s’installer sur les autres ordinateurs. Il a grandi alors de manière exponentielle et le voilà : Prélude. Connecté à tous les ordinateurs et capable de leur donner les ordres qu’il veut.
Une voiture venait d’arriver de l’autre côté de la barrière. Une personne sortit. Un militaire. Il était comme dans les films de guerre pensa David. Les décorations remplissaient l’avant de sa veste. Il s’approcha de la voiture où se trouvait David. Le chauffeur ouvrit la fenêtre.
Ce texte a été généré aléatoirement à partir du roman "Prélude" disponible ici. Si vous utilisez cette partie de texte, vous devez obligatoirement spécifier la provenance et faire un lien vers le site de l'auteur de ce roman : Prélude Prod
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