Texte français : génération de 20 moyens paragraphes

Générateur de texte aléatoire - Texte en français

Voici le texte généré de 20 paragraphes.

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Florence est une jeune femme, grande et filiforme. Ses longs cheveux blonds ressemblent aux vagues que forment les blés dans les champs sous l’effet du vent. Et l’on pourrait croire que ses yeux sont des émeraudes trouvés sous les deux petites collines qui masquent une mine d’or : son cœur.

David finit au bout d'une heure par s'assoupir. Il fut réveillé par le bruit d’une portière se fermant. Le chauffeur venait de sortir et discutait avec un militaire. David reconnu l’entrée du 57e RA qui n’avait pas changé depuis son départ. « Nous sommes arrivés Monsieur Arnould. » Dis l'un des gardes du corps de David.

Interloqué, David ne sait pas quoi répondre. En effet, il connaît un certain Prélude : lui. C’était le pseudo qu’il utilisait dans sa jeunesse d’informaticien. Tous ses amis de l’époque le connaissaient sous ce nom. Il l’avait utilisé une fois ou deux pour signer les logiciels qu’il avait piraté. Mais jamais un logiciel important et encore moins un logiciel top secret. C'était également le surnom qu'il utilisait à la faculté.

Aujourd’hui, c’est son anniversaire. Il a vingt-six ans, mais il ne s’en souvient plus. Il ne prête pas attention à ce genre de détails. David est un homme distrait, timide, mais sûr de lui. Il est grand et mince. De grandes mains prolongent ses longs bras. Il lui serait possible de tenir deux bouteilles de Champagne dans chacune de ses mains, mais il ne boit jamais. L'alcool le rend malade et malheureux, voir dépressif.

Les deux gardes du corps personnels de David le prirent par le bras et suivirent le général. Les militaires s‘étaient mis au « garde à vous » sur les côtés du couloir. Celui-ci menait à un ascenseur. Le général inséra à nouveau son badge et la porte s’ouvrit. Il y montèrent tous les quatre. Il n’y avait pas de niveau d’indiqué.

Florence avait l’esprit un peu mélangé entre ce Prélude qui ne lui apportait que des questions sans réponse et « son » David. Prélude avait réveillé brusquement un sentiment que Florence avait au plus profond d’elle. Désormais, elle voulait savoir. Connaître la vérité. Et seulement alors, cette boule de nerf coincée dans l’estomac pourrait s’en aller.

Ça ne servira à rien, repris Prélude. J’ai en effet coupé toutes les communications vers l’extérieur. Les portes sont bloquées. Ce blocaus est complètement hermétique. Et je le suis autant, pas la peine de gaspiller vos salives. Pensez plutôt à vous installer confortablement, vous êtes ici pour un bon moment.

Il a recommencé et recommencé. Pratiquement tout les ordinateurs existants furent sous son contrôle. Il ne laissait pas de trace, ne se montrait pas. Et puis, il a découvert les dialogues en direct via Internet, le téléphone, la visio conférence, la domotique...

Un long silence se fit dans la voiture. Le chauffeur regardait droit devant. David jeta un œil sur le compteur qui affichait 210km/h. L’autoroute était déserte. Depuis la construction de la Ligne Grande Vitesse, les gens préféraient prendre les transports en communs, plus rapides et moins chers. La LGV traversait la France d'un bout à l'autre avec un arrêt à Paris.

Florence est une jeune femme, grande et filiforme. Ses longs cheveux blonds ressemblent aux vagues que forment les blés dans les champs sous l’effet du vent. Et l’on pourrait croire que ses yeux sont des émeraudes trouvés sous les deux petites collines qui masquent une mine d’or : son cœur.

Florence avait fini de préparer le matériel demandé par Prélude. Elle était fin prête. Elle vérifia le bon fonctionnement de la liaison entre son ordinateur portable et Internet. Prélude était bien là. A peine connecté à Internet que la voix de Prélude se fit entendre.

Ça ne servira à rien, repris Prélude. J’ai en effet coupé toutes les communications vers l’extérieur. Les portes sont bloquées. Ce blocaus est complètement hermétique. Et je le suis autant, pas la peine de gaspiller vos salives. Pensez plutôt à vous installer confortablement, vous êtes ici pour un bon moment.

Les deux gardes du corps personnels de David le prirent par le bras et suivirent le général. Les militaires s‘étaient mis au « garde à vous » sur les côtés du couloir. Celui-ci menait à un ascenseur. Le général inséra à nouveau son badge et la porte s’ouvrit. Il y montèrent tous les quatre. Il n’y avait pas de niveau d’indiqué.

Ne t’inquiète pas, elle n’a rien pour l’instant. Par contre, dès que je serais relié au réseau, Florence ne sera plus. Tu comprends, je ne peux pas laisser Florence me gêner dans ma tâche. Et puis, elle en sait beaucoup trop sur moi.

David avait dû s’asseoir lorsqu’il avait entendu le prénom Florence. Il était devenu blanc un instant. Il allait peut-être perdre Florence avant même de lui avoir avoué son amour. Il devait empêcher Prélude de continuer dans son délire. Mais comment pouvait-il stopper ce parasite créé par lui quelques années auparavant ? Ce n’était pas un adversaire ordinaire. David avait déjà détruit plus d’un virus, mais il s’agissait de virus installés sur des machines isolées. Aujourd’hui, c’est une sorte de virus qui a pris place sur tous les ordinateurs de la planète. Et en plus, ce virus, nommé Prélude, avait un soupçon, non négligeable, d’intelligence.

David finit au bout d'une heure par s'assoupir. Il fut réveillé par le bruit d’une portière se fermant. Le chauffeur venait de sortir et discutait avec un militaire. David reconnu l’entrée du 57e RA qui n’avait pas changé depuis son départ. « Nous sommes arrivés Monsieur Arnould. » Dis l'un des gardes du corps de David.

David comprenait très bien où voulait en venir Prélude. Lorsqu’il l’avait créé, il détestait ce monde. S’il avait eu la possibilité de le changer, il l’aurait certainement fait. Il l’aurait fait en pensé, mais pas en geste. David n’était pas du genre méchant. Jamais il n’aurait fait de mal à qui que ce soit, mais il avait certainement mis cette idée dans la programmation de Prélude sans le vouloir.

La journée commence. Il s’habille comme il peut tout en prenant son café. Chemise blanche repassée la veille par lui-même. Une cravate comme tous les jours. Et son costume noir de chez Sam Montiel, très chic et très branché. Chaussures cuir noir. Comme il aime faire remarquer : "Vous êtes soit dans vos chaussures, soit dans votre lit. Alors il faut de bonnes chaussures et une bonne literie !". La météo a annoncé un ciel bleu et des températures au-dessus de la normale saisonnière. C’est un très beau mois de mai qui s’annonce.

Tous les dix mètres, une pancarte indiquait que ce grillage était électrifié. Un petit chemin longeait les grillages de chaque côté et l’on pouvait y voir de temps en temps deux gardes armés faire leur ronde. La route semblait interminable. Caillouteuse à souhait. Au-delà des grillages, c’était la forêt. Une forêt bien entretenue, presque artificielle pensa David.

Il a recommencé et recommencé. Pratiquement tous les ordinateurs existants furent sous son contrôle. Il ne laissait pas de trace, ne se montrait pas. Et puis, il a découvert les dialogues en direct via Internet, le téléphone, la visio-conférence, la domotique...

Ce texte a été généré aléatoirement à partir du roman "Prélude" disponible ici. Si vous utilisez cette partie de texte, vous devez obligatoirement spécifier la provenance et faire un lien vers le site de l'auteur de ce roman : Prélude Prod

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