Texte français : génération de 20 moyens paragraphes

Générateur de texte aléatoire - Texte en français

Voici le texte généré de 20 paragraphes.

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Le seul moyen de le stopper serait d’arrêter tous les ordinateurs, ce qui aurait les mêmes conséquences que de laisser Prélude lancer les bombes. Depuis longtemps, toutes les installations à risque étaient contrôlées par des ordinateurs. Si l’on stoppait les ordinateurs, les centrales nucléaires s’emballeraient, les silos nucléaires cracheraient leur mort sur toute la planète. Bien entendu, l’économie mondiale dirigée par la bourse, s’effondrerait. David ne savait plus quoi faire et, manifestement, tous les militaires présents dans la salle comptaient sur lui pour résoudre cette crise.

Ça ne servira à rien, repris Prélude. J’ai en effet coupé toutes les communications vers l’extérieur. Les portes sont bloquées. Ce blocaus est complètement hermétique. Et je le suis autant, pas la peine de gaspiller vos salives. Pensez plutôt à vous installer confortablement, vous êtes ici pour un bon moment.

« Oui, mais rien d’exceptionnel. » David essaie de se rappeler si dans la lancée de sa jeunesse fougueuse, il n’aurait pas installé une bombe logique sur les ordinateurs de l’armée, mais il ne se rappelait pas avoir fait une telle bêtise. Planter tout le système informatique de la base aurait été trop grave de conséquences.

« Prélude m’avait dit qu’il désirait connaître l’amour. Les ordinateurs n’ont pas de sentiments et l’amour n’est que sentiments. Il y a bien l’amour physique, mais sans les sentiments, cela ressemble davantage à un instinct de reproduction qu’à de l’amour. Un ordinateur n’a pas ce besoin de reproduction. Et pourquoi m’avoir choisi ? »

Florence est une jeune femme, grande et filiforme. Ses longs cheveux blonds ressemblent aux vagues que forment les blés dans les champs sous l’effet du vent. Et l’on pourrait croire que ses yeux sont des émeraudes trouvés sous les deux petites collines qui masquent une mine d’or : son cœur.

Les deux hommes entourent David et le conduisent à la voiture, un Espace, garé devant sa maison. Il se dit que ce serait bien si sa voisine pouvait le voir comme ça, entouré de deux gardes du corps. Ça fait ‘pro’. Et comme tous les matins, sa voisine Florence le regarde partir, mais cette fois-ci entouré de deux gros gars baraqués, rasés au plus près, menton et crâne. Un peu plus les pieds sur terre et surtout plus réveillée, elle ne trouve pas cette scène très drôle. Il faudra qu’elle vienne le voir ce soir, à son retour, pour lui demander de quoi il s’agissait.

Aujourd’hui, c’est son anniversaire. Il a vingt-six ans, mais il ne s’en souvient plus. Il ne prête pas attention à ce genre de détails. David est un homme distrait, timide, mais sûr de lui. Il est grand et mince. De grandes mains prolongent ses longs bras. Il lui serait possible de tenir deux bouteilles de Champagne dans chacune de ses mains, mais il ne boit jamais. L'alcool le rend malade et malheureux, voir dépressif.

Florence est une jeune femme, grande et filiforme. Ses longs cheveux blonds ressemblent aux vagues que forment les blés dans les champs sous l’effet du vent. Et l’on pourrait croire que ses yeux sont des émeraudes trouvés sous les deux petites collines qui masquent une mine d’or : son cœur.

Ça ne servira à rien, repris Prélude. J’ai en effet coupé toutes les communications vers l’extérieur. Les portes sont bloquées. Ce blocaus est complètement hermétique. Et je le suis autant, pas la peine de gaspiller vos salives. Pensez plutôt à vous installer confortablement, vous êtes ici pour un bon moment.

Les deux hommes entourent David et le conduisent à la voiture, un Espace, garé devant sa maison. Il se dit que ce serait bien si sa voisine pouvait le voir comme ça, entouré de deux gardes du corps. Ça fait ‘pro’. Et comme tous les matins, sa voisine Florence le regarde partir, mais cette fois-ci entouré de deux gros gars baraqués, rasés au plus près, menton et crâne. Un peu plus les pieds sur terre et surtout plus réveillée, elle ne trouve pas cette scène très drôle. Il faudra qu’elle vienne le voir ce soir, à son retour, pour lui demander de quoi il s’agissait.

David comprenait très bien où voulait en venir Prélude. Lorsqu’il l’avait créé, il détestait ce monde. S’il avait eu la possibilité de le changer, il l’aurait certainement fait. Il l’aurait fait en pensé, mais pas en geste. David n’était pas du genre méchant. Jamais il n’aurait fait de mal à qui que ce soit, mais il avait certainement mis cette idée dans la programmation de Prélude sans le vouloir.

Ce n’est pas une blague David, ton programme a réellement fonctionné et je suis là. » Dit Prélude. Et suivit une longue explication de Prélude quant à son existence. Comment avait-il fait pour sortir de l’ordinateur de David pour s’installer sur Internet, et de ce fait sur tous les ordinateurs reliés à Internet. Les explications continuèrent pendant une bonne heure. David laissait parler Prélude. Personne n’intervenait. Tout le monde présent, généraux, informaticiens, simples gardes, tous étaient stupéfiaient.

David comprenait très bien où voulait en venir Prélude. Lorsqu’il l’avait créé, il détestait ce monde. S’il avait eu la possibilité de le changer, il l’aurait certainement fait. Il l’aurait fait en pensé, mais pas en geste. David n’était pas du genre méchant. Jamais il n’aurait fait de mal à qui que ce soit, mais il avait certainement mis cette idée dans la programmation de Prélude sans le vouloir.

Cela ressemblait aux gros ordinateurs que David avait pu voir dans des films de science fiction. Beaucoup de petites lumières indiquaient qu’il était en fonction. À la base, une sorte d’aquarium avait été installé tout autour. Certainement le système de refroidissement car des bulles montaient sans cesse, preuve que l’eau était en ébullition. Soudain, David resta bouche bée. Une voix caverneuse sortie des écrans où venait de s’afficher le mot « Prélude ».

Désormais, tous les ordinateurs lui étaient accessibles. Les centrales nucléaires, les services informatiques des grandes compagnies, de l’eau, du téléphone, la télévision, l’électricité, la défense, la bourse...

Les deux hommes entourent David et le conduisent à la voiture, un Espace, garé devant sa maison. Il se dit que ce serait bien si sa voisine pouvait le voir comme ça, entouré de deux gardes du corps. Ça fait ‘pro’. Et comme tous les matins, sa voisine Florence le regarde partir, mais cette fois-ci entouré de deux gros gars baraqués, rasés au plus près, menton et crâne. Un peu plus les pieds sur terre et surtout plus réveillée, elle ne trouve pas cette scène très drôle. Il faudra qu’elle vienne le voir ce soir, à son retour, pour lui demander de quoi il s’agissait.

« Oui, mais rien d’exceptionnel. » David essaie de se rappeler si dans la lancée de sa jeunesse fougueuse, il n’aurait pas installé une bombe logique sur les ordinateurs de l’armée, mais il ne se rappelait pas avoir fait une telle bêtise. Planter tout le système informatique de la base aurait été trop grave de conséquences.

Oui et non. Ce n'est pas une blague, mais David y est pour quelque chose. Il a créé un programme sans le savoir. Ce programme se nomme Prélude. Il vit sur Internet à travers tout le réseau. Chaque ordinateur connecté connait Prélude. Chaque ordinateur est une partie de Prélude. Le réseau est Prélude.

Un long silence se fit dans la voiture. Le chauffeur regardait droit devant. David jeta un œil sur le compteur qui affichait 210km/h. L’autoroute était déserte. Depuis la construction de la Ligne Grande Vitesse, les gens préféraient prendre les transports en communs, plus rapides et moins chers. La LGV traversait la France d'un bout à l'autre avec un arrêt à Paris.

Ça ne servira à rien, repris Prélude. J’ai en effet coupé toutes les communications vers l’extérieur. Les portes sont bloquées. Ce blocaus est complètement hermétique. Et je le suis autant, pas la peine de gaspiller vos salives. Pensez plutôt à vous installer confortablement, vous êtes ici pour un bon moment.

Ce texte a été généré aléatoirement à partir du roman "Prélude" disponible ici. Si vous utilisez cette partie de texte, vous devez obligatoirement spécifier la provenance et faire un lien vers le site de l'auteur de ce roman : Prélude Prod

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