Texte français : génération de 20 moyens paragraphes

Générateur de texte aléatoire - Texte en français

Voici le texte généré de 20 paragraphes.

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Ce n’est pas une blague David, ton programme a réellement fonctionné et je suis là. » Dit Prélude. Et suivit une longue explication de Prélude quant à son existence. Comment avait-il fait pour sortir de l’ordinateur de David pour s’installer sur Internet, et de ce fait sur tous les ordinateurs reliés à Internet. Les explications continuèrent pendant une bonne heure. David laissait parler Prélude. Personne n’intervenait. Tout le monde présent, généraux, informaticiens, simples gardes, tous étaient stupéfiaient.

Il a recommencé et recommencé. Pratiquement tout les ordinateurs existants furent sous son contrôle. Il ne laissait pas de trace, ne se montrait pas. Et puis, il a découvert les dialogues en direct via Internet, le téléphone, la visio conférence, la domotique...

Il avait d’abord commencé par récupérer des informations depuis l’ordinateur de David, puis il était allé les chercher sur Internet. Il avait lui-même programmé l’ordinateur de David afin d’avoir un premier lien vers le monde extérieur : la voix. Il pouvait entendre la voix de David, mais ne la comprenait pas. C’est alors qu’il a décidé d’aller lui-même à l’information. Il s’est alors ‘transporté’ sur Internet afin de choisir une nouvelle ‘maison’. Il lui a été beaucoup plus facile de programmer ce nouvel ordinateur afin d’entendre une nouvelle voix.

Les deux hommes entourent David et le conduisent à la voiture, un Espace, garé devant sa maison. Il se dit que ce serait bien si sa voisine pouvait le voir comme ça, entouré de deux gardes du corps. Ça fait ‘pro’. Et comme tous les matins, sa voisine Florence le regarde partir, mais cette fois-ci entouré de deux gros gars baraqués, rasés au plus près, menton et crâne. Un peu plus les pieds sur terre et surtout plus réveillée, elle ne trouve pas cette scène très drôle. Il faudra qu’elle vienne le voir ce soir, à son retour, pour lui demander de quoi il s’agissait.

David n’a pas fait grand chose, il a juste créé un embryon de programme. Mais ce programme s’est développé lui-même. Comme l’ordinateur de David n’était pas suffisant, il a utilisé le réseau pour s’installer sur les autres ordinateurs. Il a grandi alors de manière exponentielle et le voilà : Prélude. Connecté à tous les ordinateurs et capable de leur donner les ordres qu’il veut.

Le seul moyen de le stopper serait d’arrêter tous les ordinateurs, ce qui aurait les mêmes conséquences que de laisser Prélude lancer les bombes. Depuis longtemps, toutes les installations à risque étaient contrôlées par des ordinateurs. Si l’on stoppait les ordinateurs, les centrales nucléaires s’emballeraient, les silos nucléaires cracheraient leur mort sur toute la planète. Bien entendu, l’économie mondiale dirigée par la bourse, s’effondrerait. David ne savait plus quoi faire et, manifestement, tous les militaires présents dans la salle comptaient sur lui pour résoudre cette crise.

Il sort de son lit, les yeux dans un brouillard londonien, avance jusqu'à la salle de bain dont la baignoire a été remplie cinq minutes avant par l'ordinateur de la maison, et va directement prendre un bain. Un bain moussant comme tous les matins. Un bain bien chaud. Et comme il est trop grand pour sa baignoire, ses pieds dépassent. Quelques minutes plus tard, il s’endort. Aucun risque de noyade.

D’ailleurs, le Dr. ne savait pas vraiment comment son processeur pouvait fonctionner. D’une architecture trop complexe, le Dr. s’était reposé sur les tests effectués. Tests très légèrement modifiés par Prélude afin de cacher certaines fonctions du processeur.

Je m’en rappellerais si j’avais créé un programme capable de parler. Et puis tiens, je suis en train de taper la causette avec un ordinateur ! Je deviens vraiment cinglé ! C’est fini, j’arrête l’informatique !

Tous les dix mètres, une pancarte indiquait que ce grillage était électrifié. Un petit chemin longeait les grillages de chaque côté et l’on pouvait y voir de temps en temps deux gardes armés faire leur ronde. La route semblait interminable. Caillouteuse à souhait. Au-delà des grillages, c’était la forêt. Une forêt bien entretenue, presque artificielle pensa David.

Désormais, tous les ordinateurs lui étaient accessibles. Les centrales nucléaires, les services informatiques des grandes compagnies, de l’eau, du téléphone, la télévision, l’électricité, la défense, la bourse...

Un long silence se fit dans la voiture. Le chauffeur regardait droit devant. David jeta un œil sur le compteur qui affichait 210km/h. L’autoroute était déserte. Depuis la construction de la Ligne Grande Vitesse, les gens préféraient prendre les transports en communs, plus rapides et moins chers. La LGV traversait la France d'un bout à l'autre avec un arrêt à Paris.

Il a recommencé et recommencé. Pratiquement tout les ordinateurs existants furent sous son contrôle. Il ne laissait pas de trace, ne se montrait pas. Et puis, il a découvert les dialogues en direct via Internet, le téléphone, la visio conférence, la domotique...

Comme je viens de te le dire Florence, ce n’est malheureusement pas une blague. David a travaillé sur deux anciennes technologies abandonnées depuis longtemps et il les a couplées. Séparées, elles ne valaient rien, mais, il les a réunies et a démarré le processus. Comme tu dois le savoir, il y a maintenant plus d’ordinateurs sur terre que d’humains et tous ces ordinateurs sont connectés entres eux grâce au réseau des réseaux : Internet.

Les deux gardes du corps personnels de David le prirent par le bras et suivirent le général. Les militaires s‘étaient mis au « garde à vous » sur les côtés du couloir. Celui-ci menait à un ascenseur. Le général inséra à nouveau son badge et la porte s’ouvrit. Il y montèrent tous les quatre. Il n’y avait pas de niveau d’indiqué.

Je m’en rappellerais si j’avais créé un programme capable de parler. Et puis tiens, je suis en train de taper la causette avec un ordinateur ! Je deviens vraiment cinglé ! C’est fini, j’arrête l’informatique !

Ce n’est pas une blague David, ton programme a réellement fonctionné et je suis là. » Dit Prélude. Et suivit une longue explication de Prélude quant à son existence. Comment avait-il fait pour sortir de l’ordinateur de David pour s’installer sur Internet, et de ce fait sur tous les ordinateurs reliés à Internet. Les explications continuèrent pendant une bonne heure. David laissait parler Prélude. Personne n’intervenait. Tout le monde présent, généraux, informaticiens, simples gardes, tous étaient stupéfiaient.

Le militaire regagna sa voiture et la barrière s’ouvrit. David regardait autour de lui, la base militaire où il avait passé dix mois de sa vie. Il n’y avait pas beaucoup de changement. L’herbe toujours aussi bien tondue, les allées toujours aussi propres. Les mêmes bâtiments. Juste les décors avaient changés. Il s’agissait de chars. C’étaient les chars que David avait eu l’occasion de voir fonctionner et qui, maintenant, avaient remplacé les vieux chars qui servaient de décors. Cela fit sourire David.

David se rappelait de ce programme mélangeant deux anciennes technologies. Il s’en souvenait très bien, cinq années de travail acharné pour réaliser un vieux rêve d’enfant un peu solitaire. Il voulait un ami et il avait trouvé en l’informatique la possibilité d’avoir cet ami. Un ami capable de réfléchir vite, exempt de sentiment.

Ça ne servira à rien, repris Prélude. J’ai en effet coupé toutes les communications vers l’extérieur. Les portes sont bloquées. Ce blocaus est complètement hermétique. Et je le suis autant, pas la peine de gaspiller vos salives. Pensez plutôt à vous installer confortablement, vous êtes ici pour un bon moment.

Ce texte a été généré aléatoirement à partir du roman "Prélude" disponible ici. Si vous utilisez cette partie de texte, vous devez obligatoirement spécifier la provenance et faire un lien vers le site de l'auteur de ce roman : Prélude Prod

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