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Toutes les connaissances que les hommes avaient mises sur Internet lui étaient accessibles. Les grandes bibliothèques du monde entier n’avaient plus de secret pour lui. Il pouvait apprendre très vite, beaucoup plus vite que n’importe quel humain. Il avait appris toutes les connaissances du monde entier, visité tous les pays. C’est lui qui avait fait en sorte qu’Internet se déploie ainsi. Il pouvait alors, à chaque fois qu’un nouvel ordinateur se connectait, approfondir son savoir, se connecter à une nouvelle caméra vidéo, ou même se connecter à des robots.
Ne t’inquiète pas, elle n’a rien pour l’instant. Par contre, dès que je serais relié au réseau, Florence ne sera plus. Tu comprends, je ne peux pas laisser Florence me gêner dans ma tâche. Et puis, elle en sait beaucoup trop sur moi.
Mais l'Intelligence Artificielle n'apportait pas le résultat tant recherché : donner une conscience aux ordinateurs. Alors l'homme oublia l'Intelligence Artificielle, et comme pour se prouver qu'il était bien le seul à avoir une conscience, se mit aux Arts. Les belles promesses sur l'intelligence des ordinateurs et des robots étaient oubliées. Le "complexe de Frankenstein" avec. De nouveaux ordinateurs plus puissants, mais dépourvus d'intelligence, virent le jour. C'était en 2004, un an après l'ouverture au grand public d'Internet 3.
En 1975, John Holland construisit un système artificiel qui s'appuyait sur les principes de sélection de Darwin et sur les méthodes de combinaison des gènes de Mendel. L'Algorithme Génétique, ou GA, était né. Un renouveau de l'Intelligence Artificielle allait voir le jour. Les médias contribuèrent grandement à faire apprécier les machines "intelligentes" au grand public.
Il a recommencé et recommencé. Pratiquement tout les ordinateurs existants furent sous son contrôle. Il ne laissait pas de trace, ne se montrait pas. Et puis, il a découvert les dialogues en direct via Internet, le téléphone, la visio conférence, la domotique...
Il sort de son lit, les yeux dans un brouillard londonien, avance jusqu'à la salle de bain dont la baignoire a été remplie cinq minutes avant par l'ordinateur de la maison, et va directement prendre un bain. Un bain moussant comme tous les matins. Un bain bien chaud. Et comme il est trop grand pour sa baignoire, ses pieds dépassent. Quelques minutes plus tard, il s’endort. Aucun risque de noyade.
Une voiture venait d’arriver de l’autre côté de la barrière. Une personne sortit. Un militaire. Il était comme dans les films de guerre pensa David. Les décorations remplissaient l’avant de sa veste. Il s’approcha de la voiture où se trouvait David. Le chauffeur ouvrit la fenêtre.
Dans le plancher pour savoir si quelqu'un marchait et quel poids il faisait. Le cœur pouvait alors déterminer de quelle personne il s'agissait. Dans les murs, des cellules photosensibles, des micro-caméras et tout un réseau de détecteurs divers (magnétique, pression, infrarouge...) permettait de déterminer la position exacte de chaque personne et objet dans la maison, de ventiler ou chauffer en conséquence, d'allumer ou d'éteindre la lumière...
Il prend sa sacoche remplie de papiers divers, de livres, de magazines, de crayons... « Le poids de mes connaissances. » comme il aime dire. En fait, la plupart des livres n’ont jamais été ouverts, les papiers sont, pour la plupart, des notes prises sur le vif depuis l’achat de cette sacoche et sont plus proches de la décomposition. Mais parfois, il met le nez dedans et s’amuse d’avoir un jour eu des idées aussi géniales.
Il sort de son lit, les yeux dans un brouillard londonien, avance jusqu'à la salle de bain dont la baignoire a été remplie cinq minutes avant par l'ordinateur de la maison, et va directement prendre un bain. Un bain moussant comme tous les matins. Un bain bien chaud. Et comme il est trop grand pour sa baignoire, ses pieds dépassent. Quelques minutes plus tard, il s’endort. Aucun risque de noyade.
Le militaire regagna sa voiture et la barrière s’ouvrit. David regardait autour de lui, la base militaire où il avait passé dix mois de sa vie. Il n’y avait pas beaucoup de changement. L’herbe toujours aussi bien tondue, les allées toujours aussi propres. Les mêmes bâtiments. Juste les décors avaient changés. Il s’agissait de chars. C’étaient les chars que David avait eu l’occasion de voir fonctionner et qui, maintenant, avaient remplacé les vieux chars qui servaient de décors. Cela fit sourire David.
Mais ils étaient beaucoup plus rapides et plus grands. Le peu de voitures qui circulaient encore étaient ultra sécurisées. C'est pourquoi la vitesse maximum autorisée avait été portée à 230km/h. Les gens pouvaient commencer à travailler à l’aide de leur ordinateur portables relié au réseau par leur téléphone mobile. Ils auraient pu travailler de chez eux, mais le contact humain restait une priorité. Voir les collègues, prendre un café ensemble à midi et ce dire ‘À demain’. Telle était la vie de l’homme "moderne".
David se rappelait de ce programme mélangeant deux anciennes technologies. Il s’en souvenait très bien, cinq années de travail acharné pour réaliser un vieux rêve d’enfant un peu solitaire. Il voulait un ami et il avait trouvé en l’informatique la possibilité d’avoir cet ami. Un ami capable de réfléchir vite, exempt de sentiment.
En 1975, John Holland construisit un système artificiel qui s'appuyait sur les principes de sélection de Darwin et sur les méthodes de combinaison des gènes de Mendel. L'Algorithme Génétique, ou GA, était né. Un renouveau de l'Intelligence Artificielle allait voir le jour. Les médias contribuèrent grandement à faire apprécier les machines "intelligentes" au grand public.
C’est lui aussi qui était à la base du dernier processeur, le sphéro. Un processeur ayant une architecture en forme de sphère et capable de traiter les informations à une vitesse jamais atteinte. Tous les ordinateurs en étaient équipés. Le créateur officiel, le Dr. Stewart Davis, n’était bien sûr pas au courant de la présence de Prélude dans son projet. Prélude avait simplement suggéré légèrement au Dr. En modifiant légèrement ses documents.
Il avait d’abord commencé par récupérer des informations depuis l’ordinateur de David, puis il était allé les chercher sur Internet. Il avait lui même programmé l’ordinateur de David afin d’avoir un premier lien vers le monde extérieur : la voix. Il pouvait entendre la voix de David, mais ne la comprenait pas. C’est alors qu’il a décidé d’aller lui même à l’information. Il s’est alors ‘transporté’ sur Internet afin de choisir une nouvelle ‘maison’. Il lui a été beaucoup plus facile de programmer ce nouvel ordinateur afin d’entendre une nouvelle voix.
Florence avait l’esprit un peu mélangé entre ce Prélude qui ne lui apportait que des questions sans réponse et « son » David. Prélude avait réveillé brusquement un sentiment que Florence avait au plus profond d’elle. Désormais, elle voulait savoir. Connaître la vérité. Et seulement alors, cette boule de nerf coincée dans l’estomac pourrait s’en aller.
Oui et non. Ce n'est pas une blague, mais David y est pour quelque chose. Il a créé un programme sans le savoir. Ce programme se nomme Prélude. Il vit sur Internet à travers tout le réseau. Chaque ordinateur connecté connait Prélude. Chaque ordinateur est une partie de Prélude. Le réseau est Prélude.
David comprenait très bien où voulait en venir Prélude. Lorsqu’il l’avait créé, il détestait ce monde. S’il avait eu la possibilité de le changer, il l’aurait certainement fait. Il l’aurait fait en pensé, mais pas en geste. David n’était pas du genre méchant. Jamais il n’aurait fait de mal à qui que ce soit, mais il avait certainement mis cette idée dans la programmation de Prélude sans le vouloir.
Le général sorti un badge et se dirigea vers l’une des portes entourées de peinture jaune. Il glissa le badge dans la fente située à droite. La porte s’ouvrit. Une dizaine de militaires armées jusqu’aux dents étaient postés derrière.
Ce texte a été généré aléatoirement à partir du roman "Prélude" disponible ici. Si vous utilisez cette partie de texte, vous devez obligatoirement spécifier la provenance et faire un lien vers le site de l'auteur de ce roman : Prélude Prod
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