Texte français : génération de 20 moyens paragraphes

Générateur de texte aléatoire - Texte en français

Voici le texte généré de 20 paragraphes.

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Le seul moyen de le stopper serait d’arrêter tous les ordinateurs, ce qui aurait les mêmes conséquences que de laisser Prélude lancer les bombes. Depuis longtemps, toutes les installations à risque étaient contrôlées par des ordinateurs. Si l’on stoppait les ordinateurs, les centrales nucléaires s’emballeraient, les silos nucléaires cracheraient leur mort sur toute la planète. Bien entendu, l’économie mondiale dirigée par la bourse, s’effondrerait. David ne savait plus quoi faire et, manifestement, tous les militaires présents dans la salle comptaient sur lui pour résoudre cette crise.

David avait dû s’asseoir lorsqu’il avait entendu le prénom Florence. Il était devenu blanc un instant. Il allait peut-être perdre Florence avant même de lui avoir avoué son amour. Il devait empêcher Prélude de continuer dans son délire. Mais comment pouvait-il stopper ce parasite créé par lui quelques années auparavant ? Ce n’était pas un adversaire ordinaire. David avait déjà détruit plus d’un virus, mais il s’agissait de virus installés sur des machines isolées. Aujourd’hui, c’est une sorte de virus qui a pris place sur tous les ordinateurs de la planète. Et en plus, ce virus, nommé Prélude, avait un soupçon, non négligeable, d’intelligence.

Florence venait d’avouer quelque chose qu’elle n’osait même pas dire à la personne concernée : David. « Son » David. Oui, elle l’aimait. Depuis qu’il avait emménagé à côté de chez elle, il y a de ça cinq ans. Depuis le premier regard, elle savait que c’était lui. Et à chaque fois la même chose : dès qu’elle parlait de lui, dès qu’elle pensait à lui, ses yeux brillaient.

D’ailleurs, le Dr. ne savait pas vraiment comment son processeur pouvait fonctionner. D’une architecture trop complexe, le Dr. s’était reposé sur les tests effectués. Tests très légèrement modifiés par Prélude afin de cacher certaines fonctions du processeur.

C’est une informaticienne chevronnée de 35 ans. Une surdouée qui s’est découvert une passion pour l’informatique à l’âge de treize ans lorsqu’elle a vu une publicité pour cet ordinateur familial dont on ventait les mérites à l’aide d’une petite marionnette virtuelle. Elle voulait un ami, elle a eu une marionnette virtuelle. Depuis, la marionnette a laissé place à des projets plus sérieux, plus lucratifs surtout. Mais Sophie, c’est comme ça qu’elle nommait sa marionnette, est toujours là, dans un petit coin de son ordinateur et c’est à Sophie qu’elle s’adresse quand le moral est au plus bas. Mais aujourd’hui, c’est Sophie qui s’adresse à Florence.

Il a recommencé et recommencé. Pratiquement tous les ordinateurs existants furent sous son contrôle. Il ne laissait pas de trace, ne se montrait pas. Et puis, il a découvert les dialogues en direct via Internet, le téléphone, la visio-conférence, la domotique...

Il prend sa sacoche remplie de papiers divers, de livres, de magazines, de crayons... « Le poids de mes connaissances. » comme il aime dire. En fait, la plupart des livres n’ont jamais été ouverts, les papiers sont, pour la plupart, des notes prises sur le vif depuis l’achat de cette sacoche et sont plus proches de la décomposition. Mais parfois, il met le nez dedans et s’amuse d’avoir un jour eu des idées aussi géniales.

Ça ne servira à rien, repris Prélude. J’ai en effet coupé toutes les communications vers l’extérieur. Les portes sont bloquées. Ce blocaus est complètement hermétique. Et je le suis autant, pas la peine de gaspiller vos salives. Pensez plutôt à vous installer confortablement, vous êtes ici pour un bon moment.

Mais ils étaient beaucoup plus rapides et plus grands. Le peu de voitures qui circulaient encore étaient ultra sécurisées. C'est pourquoi la vitesse maximum autorisée avait été portée à 230km/h. Les gens pouvaient commencer à travailler à l’aide de leur ordinateur portables relié au réseau par leur téléphone mobile. Ils auraient pu travailler de chez eux, mais le contact humain restait une priorité. Voir les collègues, prendre un café ensemble à midi et ce dire ‘À demain’. Telle était la vie de l’homme "moderne".

Le militaire regagna sa voiture et la barrière s’ouvrit. David regardait autour de lui, la base militaire où il avait passé dix mois de sa vie. Il n’y avait pas beaucoup de changement. L’herbe toujours aussi bien tondue, les allées toujours aussi propres. Les mêmes bâtiments. Juste les décors avaient changés. Il s’agissait de chars. C’étaient les chars que David avait eu l’occasion de voir fonctionner et qui, maintenant, avaient remplacé les vieux chars qui servaient de décors. Cela fit sourire David.

Comme je viens de te le dire Florence, ce n’est malheureusement pas une blague. David a travaillé sur deux anciennes technologies abandonnées depuis longtemps et il les a couplées. Séparées, elles ne valaient rien, mais, il les a réunies et a démarré le processus. Comme tu dois le savoir, il y a maintenant plus d’ordinateurs sur terre que d’humains et tous ces ordinateurs sont connectés entres eux grâce au réseau des réseaux : Internet.

Un long silence se fit dans la voiture. Le chauffeur regardait droit devant. David jeta un œil sur le compteur qui affichait 210km/h. L’autoroute était déserte. Depuis la construction de la Ligne Grande Vitesse, les gens préféraient prendre les transports en communs, plus rapides et moins chers. La LGV traversait la France d'un bout à l'autre avec un arrêt à Paris.

Ça ne servira à rien, repris Prélude. J’ai en effet coupé toutes les communications vers l’extérieur. Les portes sont bloquées. Ce blocaus est complètement hermétique. Et je le suis autant, pas la peine de gaspiller vos salives. Pensez plutôt à vous installer confortablement, vous êtes ici pour un bon moment.

D’ailleurs, le Dr. ne savait pas vraiment comment son processeur pouvait fonctionner. D’une architecture trop complexe, le Dr. s’était reposé sur les tests effectués. Tests très légèrement modifiés par Prélude afin de cacher certaines fonctions du processeur.

David n’a pas fait grand chose, il a juste créé un embryon de programme. Mais ce programme s’est développé lui-même. Comme l’ordinateur de David n’était pas suffisant, il a utilisé le réseau pour s’installer sur les autres ordinateurs. Il a grandi alors de manière exponentielle et le voilà : Prélude. Connecté à tous les ordinateurs et capable de leur donner les ordres qu’il veut.

C’est une informaticienne chevronnée de 35 ans. Une surdouée qui s’est découvert une passion pour l’informatique à l’âge de treize ans lorsqu’elle a vu une publicité pour cet ordinateur familial dont on ventait les mérites à l’aide d’une petite marionnette virtuelle. Elle voulait un ami, elle a eu une marionnette virtuelle. Depuis, la marionnette a laissé place à des projets plus sérieux, plus lucratifs surtout. Mais Sophie, c’est comme ça qu’elle nommait sa marionnette, est toujours là, dans un petit coin de son ordinateur et c’est à Sophie qu’elle s’adresse quand le moral est au plus bas. Mais aujourd’hui, c’est Sophie qui s’adresse à Florence.

Je m’en rappellerais si j’avais créé un programme capable de parler. Et puis tiens, je suis en train de taper la causette avec un ordinateur ! Je deviens vraiment cinglé ! C’est fini, j’arrête l’informatique !

David avait dû s’asseoir lorsqu’il avait entendu le prénom Florence. Il était devenu blanc un instant. Il allait peut-être perdre Florence avant même de lui avoir avoué son amour. Il devait empêcher Prélude de continuer dans son délire. Mais comment pouvait-il stopper ce parasite créé par lui quelques années auparavant ? Ce n’était pas un adversaire ordinaire. David avait déjà détruit plus d’un virus, mais il s’agissait de virus installés sur des machines isolées. Aujourd’hui, c’est une sorte de virus qui a pris place sur tous les ordinateurs de la planète. Et en plus, ce virus, nommé Prélude, avait un soupçon, non négligeable, d’intelligence.

« À la base militaire du 57e RA ? Mais qu’est-ce que j’ai à voir avec les militaires ? » David se rappelle y avoir fait un séjour alors qu’il avait vingt-quatre ans. Il avait fait tout son possible pour éviter le service militaire, encore en vogue à l’époque, mais lorsqu’on lui avait proposé de travailler sur des projets informatiques secret défense, il n’avait pas su résister. Non pas que c’était passionnant, mais au moins, il ne faisait pas trop de sortie et il était tranquillement installé dans un bureau avec le matériel dont il rêvait.

Oui et non. Ce n'est pas une blague, mais David y est pour quelque chose. Il a créé un programme sans le savoir. Ce programme se nomme Prélude. Il vit sur Internet à travers tout le réseau. Chaque ordinateur connecté connait Prélude. Chaque ordinateur est une partie de Prélude. Le réseau est Prélude.

Ce texte a été généré aléatoirement à partir du roman "Prélude" disponible ici. Si vous utilisez cette partie de texte, vous devez obligatoirement spécifier la provenance et faire un lien vers le site de l'auteur de ce roman : Prélude Prod

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