Texte français : génération de 20 moyens paragraphes

Générateur de texte aléatoire - Texte en français

Voici le texte généré de 20 paragraphes.

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David avait dû s’asseoir lorsqu’il avait entendu le prénom Florence. Il était devenu blanc un instant. Il allait peut-être perdre Florence avant même de lui avoir avoué son amour. Il devait empêcher Prélude de continuer dans son délire. Mais comment pouvait-il stopper ce parasite créé par lui quelques années auparavant ? Ce n’était pas un adversaire ordinaire. David avait déjà détruit plus d’un virus, mais il s’agissait de virus installés sur des machines isolées. Aujourd’hui, c’est une sorte de virus qui a pris place sur tous les ordinateurs de la planète. Et en plus, ce virus, nommé Prélude, avait un soupçon, non négligeable, d’intelligence.

Le seul moyen de le stopper serait d’arrêter tous les ordinateurs, ce qui aurait les mêmes conséquences que de laisser Prélude lancer les bombes. Depuis longtemps, toutes les installations à risque étaient contrôlées par des ordinateurs. Si l’on stoppait les ordinateurs, les centrales nucléaires s’emballeraient, les silos nucléaires cracheraient leur mort sur toute la planète. Bien entendu, l’économie mondiale dirigée par la bourse, s’effondrerait. David ne savait plus quoi faire et, manifestement, tous les militaires présents dans la salle comptaient sur lui pour résoudre cette crise.

De tout temps, l'homme a tenté de comprendre puis de reproduire l'extraordinaire machine qu'est l'être humain. Les premiers automates nous font sourire aujourd'hui. Les premiers ordinateurs également, mais un peu moins. Et lorsqu'un certain McCullogn, aidé de Pitts, invente en 1943 le premier neurone formel, on ne rigole plus. L'ordinateur est devenu capable de reproduire des neurones artificiels. Le "complexe de Frankenstein" va alors freiner les recherches. On commence à entendre parler du concept d'Intelligence Artificielle, plus connu sous les termes d'IA. Cela fait peur.

Ce n’est pas une blague David, ton programme a réellement fonctionné et je suis là. » Dit Prélude. Et suivit une longue explication de Prélude quant à son existence. Comment avait-il fait pour sortir de l’ordinateur de David pour s’installer sur Internet, et de ce fait sur tous les ordinateurs reliés à Internet. Les explications continuèrent pendant une bonne heure. David laissait parler Prélude. Personne n’intervenait. Tout le monde présent, généraux, informaticiens, simples gardes, tous étaient stupéfiaient.

Florence venait d’avouer quelque chose qu’elle n’osait même pas dire à la personne concernée : David. « Son » David. Oui, elle l’aimait. Depuis qu’il avait emménagé à côté de chez elle, il y a de ça cinq ans. Depuis le premier regard, elle savait que c’était lui. Et à chaque fois la même chose : dès qu’elle parlait de lui, dès qu’elle pensait à lui, ses yeux brillaient.

Mais l'Intelligence Artificielle n'apportait pas le résultat tant recherché : donner une conscience aux ordinateurs. Alors l'homme oublia l'Intelligence Artificielle, et comme pour se prouver qu'il était bien le seul à avoir une conscience, se mit aux Arts. Les belles promesses sur l'intelligence des ordinateurs et des robots étaient oubliées. Le "complexe de Frankenstein" avec. De nouveaux ordinateurs plus puissants, mais dépourvus d'intelligence, virent le jour. C'était en 2004, un an après l'ouverture au grand public d'Internet 3.

Il prend sa sacoche remplie de papiers divers, de livres, de magazines, de crayons... « Le poids de mes connaissances. » comme il aime dire. En fait, la plupart des livres n’ont jamais été ouverts, les papiers sont, pour la plupart, des notes prises sur le vif depuis l’achat de cette sacoche et sont plus proches de la décomposition. Mais parfois, il met le nez dedans et s’amuse d’avoir un jour eu des idées aussi géniales.

Mais ils étaient beaucoup plus rapides et plus grands. Le peu de voitures qui circulaient encore étaient ultra sécurisées. C'est pourquoi la vitesse maximum autorisée avait été portée à 230km/h. Les gens pouvaient commencer à travailler à l’aide de leur ordinateur portables relié au réseau par leur téléphone mobile. Ils auraient pu travailler de chez eux, mais le contact humain restait une priorité. Voir les collègues, prendre un café ensemble à midi et ce dire ‘À demain’. Telle était la vie de l’homme "moderne".

Cela ressemblait aux gros ordinateurs que David avait pu voir dans des films de science fiction. Beaucoup de petites lumières indiquaient qu’il était en fonction. À la base, une sorte d’aquarium avait été installé tout autour. Certainement le système de refroidissement car des bulles montaient sans cesse, preuve que l’eau était en ébullition. Soudain, David resta bouche bée. Une voix caverneuse sortie des écrans où venait de s’afficher le mot « Prélude ».

Ça ne servira à rien, repris Prélude. J’ai en effet coupé toutes les communications vers l’extérieur. Les portes sont bloquées. Ce blocaus est complètement hermétique. Et je le suis autant, pas la peine de gaspiller vos salives. Pensez plutôt à vous installer confortablement, vous êtes ici pour un bon moment.

Ne t’inquiète pas, elle n’a rien pour l’instant. Par contre, dès que je serais relié au réseau, Florence ne sera plus. Tu comprends, je ne peux pas laisser Florence me gêner dans ma tâche. Et puis, elle en sait beaucoup trop sur moi.

Il a recommencé et recommencé. Pratiquement tous les ordinateurs existants furent sous son contrôle. Il ne laissait pas de trace, ne se montrait pas. Et puis, il a découvert les dialogues en direct via Internet, le téléphone, la visio-conférence, la domotique...

D’ailleurs, le Dr. ne savait pas vraiment comment son processeur pouvait fonctionner. D’une architecture trop complexe, le Dr. s’était reposé sur les tests effectués. Tests très légèrement modifiés par Prélude afin de cacher certaines fonctions du processeur.

C’est comme ça qu’il se voyait à cette époque. Un peu rebelle envers ce monde. L’informatique l’avait aidé à s’enfermer un peu plus dans cet état. Il était devenu doué d’une logique à toute épreuve et d’une intelligence remarquable, mais surtout, il était devenu insociable. Avec l’âge, le besoin de trouver l’âme sœur avait pris le dessus et il avait été un peu obligé de rencontrer des gens, de parler avec eux. Très difficile au début, il avait réussi à vaincre ces préjugés. Il avait accepté la lenteur d’esprit des autres ainsi que leur manque de logique.

« Prélude m’avait dit qu’il désirait connaître l’amour. Les ordinateurs n’ont pas de sentiments et l’amour n’est que sentiments. Il y a bien l’amour physique, mais sans les sentiments, cela ressemble davantage à un instinct de reproduction qu’à de l’amour. Un ordinateur n’a pas ce besoin de reproduction. Et pourquoi m’avoir choisi ? »

Dans le plancher pour savoir si quelqu'un marchait et quel poids il faisait. Le cœur pouvait alors déterminer de quelle personne il s'agissait. Dans les murs, des cellules photosensibles, des micro-caméras et tout un réseau de détecteurs divers (magnétique, pression, infrarouge...) permettait de déterminer la position exacte de chaque personne et objet dans la maison, de ventiler ou chauffer en conséquence, d'allumer ou d'éteindre la lumière...

Ce n’est pas une blague David, ton programme a réellement fonctionné et je suis là. » Dit Prélude. Et suivit une longue explication de Prélude quant à son existence. Comment avait-il fait pour sortir de l’ordinateur de David pour s’installer sur Internet, et de ce fait sur tous les ordinateurs reliés à Internet. Les explications continuèrent pendant une bonne heure. David laissait parler Prélude. Personne n’intervenait. Tout le monde présent, généraux, informaticiens, simples gardes, tous étaient stupéfiaient.

David avait dû s’asseoir lorsqu’il avait entendu le prénom Florence. Il était devenu blanc un instant. Il allait peut-être perdre Florence avant même de lui avoir avoué son amour. Il devait empêcher Prélude de continuer dans son délire. Mais comment pouvait-il stopper ce parasite créé par lui quelques années auparavant ? Ce n’était pas un adversaire ordinaire. David avait déjà détruit plus d’un virus, mais il s’agissait de virus installés sur des machines isolées. Aujourd’hui, c’est une sorte de virus qui a pris place sur tous les ordinateurs de la planète. Et en plus, ce virus, nommé Prélude, avait un soupçon, non négligeable, d’intelligence.

David n’a pas fait grand chose, il a juste créé un embryon de programme. Mais ce programme s’est développé lui-même. Comme l’ordinateur de David n’était pas suffisant, il a utilisé le réseau pour s’installer sur les autres ordinateurs. Il a grandi alors de manière exponentielle et le voilà : Prélude. Connecté à tous les ordinateurs et capable de leur donner les ordres qu’il veut.

Le seul moyen de le stopper serait d’arrêter tous les ordinateurs, ce qui aurait les mêmes conséquences que de laisser Prélude lancer les bombes. Depuis longtemps, toutes les installations à risque étaient contrôlées par des ordinateurs. Si l’on stoppait les ordinateurs, les centrales nucléaires s’emballeraient, les silos nucléaires cracheraient leur mort sur toute la planète. Bien entendu, l’économie mondiale dirigée par la bourse, s’effondrerait. David ne savait plus quoi faire et, manifestement, tous les militaires présents dans la salle comptaient sur lui pour résoudre cette crise.

Ce texte a été généré aléatoirement à partir du roman "Prélude" disponible ici. Si vous utilisez cette partie de texte, vous devez obligatoirement spécifier la provenance et faire un lien vers le site de l'auteur de ce roman : Prélude Prod

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